Certaines crises de violence y trouveraient leur explication
L’Homoparentalité causerait de graves problèmes psychologiques et comportementaux

C’était une promesse de campagne du président Hollande alors qu’il était candidat : deux hommes ou deux femmes pourront bientôt se marier civilement. Des politiques, des philosophes, des psychologues ou encore des enfants élevés par deux parents du même sexe rassurent les plus inquiets : à les entendre, ces situations familiales inhabituelles n’ont rien de tragique ou de perturbant pour les enfants.
Et si tout n’était pas si rose ?
Le 18 novembre 2012, à Paris, en plein jour, une bande d’hommes se réclamant pourtant du pacifique prédicateur Jésus Christ étaient pris d’une fureur collective inexplicable et décidaient d’agresser physiquement une petite troupe de mannequins ukrainiens défilant dans les rues de la ville en petite culotte.
« Les incidents de ce type risquent de se multiplier à l’avenir... », avertir le père Anquille, prêtre indépendant, psychologue et véritable autorité en la matière, qui accompagnait justement ces turbulents jeunes hommes « ...car lorsque l’on déstabilise psychologiquement les enfants à une période de leur vie où ils se construisent, il ne leur reste plus que la violence pour s’exprimer ».
En effet, comment expliquer une telle agressivité alors que, comme l’écrivait Louis Scutenaire, « Les femmes nues n’ont jamais fait de mal à personne » et alors que l’on sait que Jésus lui-même prêchait la non-violence et le respect des femmes, quel que soit leur mode de vie ?
L’explication doit sans doute être recherchée dans les effets délétères d’une structure familiale anormale.

On le sait, malgré la sympathie qu’il inspire, Jésus Christ est né dans des conditions extrêmement atypiques : deux papas, une procréation assistée (comme on dit à présent), une mère porteuse, et un «roman familial» aussi fantaisiste que suspect — autant d’éléments perturbants qui l’ont poussé à mener une existence suicidaire et à mourir de manière tragique, vraisemblablement sans avoir jamais connu la volupté amoureuse hétérosexuelle, à l’âge de trente-trois ans. C’est bien de cet homme que se réclament ceux qui, deux mille ans plus tard, agressent physiquement des mannequins et dont les slogans virilistes et le dégoût pour les femmes laisse assez peu de doutes quant à leur difficulté à entretenir un rapport sain à l’autre sexe comme à la figure paternelle.
Un exemple édifiant qui a de quoi faire réfléchir : voulons-nous vivre dans un monde où les hommes sont les ennemis des femmes ?

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